vendredi, 9 mai 2025

La TSF Ă  Namur

Face Ă  l’engouement suscitĂ© par « cette tĂ©nĂ©breuse science familiĂšre, ce tripotage sans fil et sans fin Â»Âč, le journal ‘Vers L’Avenir’ entame dĂšs janvier 1925 la publication d’une rubrique dĂ©diĂ©e Ă  la T.S.F. .
Ces articles, hebdomadaires dans un premier temps, puis moins rĂ©guliers ensuite sont signĂ©s ‘BOB DE SELF’, alias Mr. De Winter (28, Quai de Meuse Ă  Jambes), professeur Ă  l’école des Cadets et responsable des cours techniques Ă  la SociĂ©tĂ© de TSF de la province de Namur.
Voici les 27 sujets abordĂ©sÂČ :

Cet article de fĂ©vrier 1926, tĂ©moignage poignant des terribles inondations que connut Namur en ce dĂ©but de l’annĂ©e 1926, semble ĂȘtre le dernier de la sĂ©rie. A ce titre, nous le reproduisons en annexe.

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Âč La Libre Belgique, 26 avril 1924.
ÂČ Erreurs de numĂ©rotation et/ou imprĂ©cisions du texte ont fait l’objet de rectifications (par l’auteur) dans des numĂ©ros ultĂ©rieurs.

Annexe

(‘Vers L’Avenir’, mardi 9 fĂ©vrier 1926.)

Présentation de la TSF à Namur


Le Baron Albert de Dorlodot (1899-1975)

Pionnier de la T.S.F. Ă  Namur

TrĂšs jeune, Albert de Dorlodot s’est intĂ©ressĂ© Ă  cette science nouvelle, encouragĂ© dans cette voie par le PĂšre Lucas, JĂ©suite, professeur de physique aux FacultĂ©s Ă  Namur. [1]
Il raconta ses premiers souvenirs de la TSF, « chose mystĂ©rieuse et pleine de charmes secrets » [2], dans un article intitulĂ© « M. le Baron Albert de Dorlodot nous dit  », publiĂ© dans la revue ‘Radio Belgique’ du 25 mars 1934.

Il rĂ©alisa lui-mĂȘme son premier poste rĂ©cepteur de TSF qui lui coĂ»ta « la coquette somme de sept francs, sept francs or, bien entendu  ». [3]
Ce poste de radio lui permit d’écouter les Ă©missions horaires et mĂ©tĂ©orologiques de la Tour Eiffel, mais surtout, dĂšs la fin de 1913, les premiers essais radiophoniques du poste de Laeken. Par la suite, il fit partie des quelques centaines d’auditeurs ‘privilĂ©giĂ©s’ du premier concert radiodiffusĂ© le 28 mars 1914.
Dans un autre article, intitulĂ© « Le Roi Albert et la T.S.F. », Ă©crit Ă  la mĂ©moire d’Albert Ier dĂ©cĂ©dĂ© accidentellement Ă  Marches les Dames le 17 fĂ©vrier 1934, Albert de Dorlodot retrace les dĂ©buts historiques de la radiodiffusion en Belgique et met en exergue le rĂŽle prĂ©pondĂ©rant que joua le souverain dans le dĂ©veloppement de la T.S.F. en Belgique.

« En 1912, sous son impulsion, MM. Goldschmidt et Braillard entreprirent la construction d’une station de grande puissance dans une des dĂ©pendances du domaine de Laeken. Ce poste commença des essais en 1913 et les poursuivit jusqu’à la dĂ©claration de la guerre. (
)

En 1913, un Ă©metteur de radiotĂ©lĂ©phonie fut construit au poste de Laeken avec la collaboration de l’ingĂ©nieur italien Marzi. Les essais commencĂšrent pendant l’hiver 1913-1914, les appels furent perçus en diffĂ©rents points de Belgique et, le 13 mars 1914, Ă  Paris. Deux concerts furent diffusĂ©s le 28 mars 1914 : le premier, Ă  17 heures, Ă  l’intention des amateurs de T.S.F. ; le second, Ă  20h30, Ă  la demande expresse du Roi qui dĂ©sirait Ă©couter, ainsi que la Famille Royale, du Palais de Bruxelles. Ces concerts constituent les premiĂšres Ă©missions de radiodiffusion du monde. (
) Quelques heures avant l’entrĂ©e des Allemands Ă  Bruxelles, le Roi donna l’ordre de dĂ©truire complĂštement le poste de Laeken, ne voulant pas que son Ɠuvre pĂ»t servir Ă  l’ennemi. Â» [4]

Les prĂ©cieux tĂ©moignages du Baron Albert de Dorlodot, sans-filiste de la premiĂšre heure, sont Ă©galement relatĂ©s dans l’ouvrage rĂ©cent de Philippe Caufriez. [5]

« Les essais commencĂšrent pendant l’hiver 1913-1914, les appels furent perçus en diffĂ©rents points de Belgique et, le 13 mars 1914 Ă  Paris. »
Le ‘concert aĂ©rien’ du 28 mars 1914 est relatĂ© en termes dithyrambiques dans le journal ‘Le Soir’ du 30 mars. Preuve d’un dĂ©but d’engouement pour ces premiers programmes rĂ©guliers en Europe, une firme de Bruxelles propose Ă  sa clientĂšle en ce dĂ©but de 1914 « le placement complet d’antennes et poste rĂ©cepteur », une installation de T.S.F. tous services compris. [6]
A la question, comment ces progrĂšs de la T.S.F. furent accueillis par le profane, le Baron Albert de Dorlodot rĂ©pond avec un certain flegme que « les premiers auditeurs Ă©taient pris pour des illuminĂ©s ou tout au moins pour d’aimables fumistes. Comme la date du 28 mars est assez rapprochĂ©e du premier avril, beaucoup de gens se sont imaginĂ©s qu’il s’agissait d’un simple poisson d’avril. (
) Mais en apprenant que ces Ă©missions se faisaient Ă  l’initiative du Roi Albert, il y eut bientĂŽt un revirement et les adeptes de la T.S.F. devinrent de plus en plus nombreux. » [7]

Ainsi, en Belgique, Ă  la veille de la premiĂšre guerre mondiale, toutes les conditions Ă©taient dĂ©jĂ  rĂ©unies pour que se dĂ©veloppe la radio. La guerre stoppa net ces audacieuses et magnifiques expĂ©riences. Le mouvement, qui n’était qu’en sommeil, reprit dĂšs la fin des hostilitĂ©s : les ‘sans-filistes’ dĂ©veloppĂšrent leur activitĂ©, ils se groupĂšrent en associations, en ‘Radio Clubs’ trĂšs actifs.
La premiĂšre station de radio, qui commença ses Ă©missions le 24 novembre 1923 sous le nom de « Station radiophonique de Bruxelles », suscita maintes vocations parmi ‘les auditeurs-bricoleurs’, auditeurs de concerts et futurs amateurs-Ă©metteurs confondus.
A Namur, Albert de Dorlodot est un « Broadcast Concert Listener », qui s’intĂ©resse aussi aux « émissions radiophoniques d’amateurs », comme en tĂ©moigne un rapport d’écoute (01/1924), publiĂ© dans la revue anglaise « The Wireless World and Radio Revue » en mars 1924. [8]

La ‘SociĂ©tĂ© de T.S.F. de la province de Namur’ fut inaugurĂ©e le dimanche 11 mai 1924. [9]

Le Baron Albert de Dorlodot ouvre la sĂ©ance inaugurale Ă  10h30 en la salle des confĂ©rences de l’Ecole moyenne des garçons. [10]

Le conseil d’administration du club compte un PrĂ©sident, un Vice PrĂ©sident, un secrĂ©taire et 4 administrateurs. La jeune sociĂ©tĂ© de T.S.F. s’articule autour de 3  commissions :

  • La commission d’enseignement (5 membres), dont le but est l’organisation d’une sĂ©rie de cours-confĂ©rences permettant aux amateurs de dĂ©velopper leurs connaissances. Cette commission est dirigĂ©e par Mr. De Winter. (28, Quai de Meuse Ă  Jambes)
  • La commission de bibliothĂšque (3 membres), complĂ©mentaire Ă  l’enseignement, a comme but de fournir Ă  tout amateur une documentation pratique ou scientifique. Mr. Coppe est Ă  la tĂȘte de cette commission.
  • La commission de laboratoire (4 membres), dirigĂ©e par le Lieutenant Pirson veillera Ă  construire des postes types, Ă  lampes et Ă  galĂšne.

A la fin de la rĂ©union, le PrĂ©sident remercie les prĂ©sidents des commissions, souligne le rĂŽle prĂ©pondĂ©rant de l’amateur de T.S.F. et conclut :
« Le rĂŽle de notre sociĂ©tĂ©, dit-il, est illimitĂ©. Par notre action, par le travail de tous nos membres et de tous nos amis, nous verrons, selon la forte expression d’un amateur français, un cadre dans chaque appartement, des antennes aller de cheminĂ©es en cheminĂ©e, et chaque maison abriter un sans-filiste. » [11]
La 1Ăšre AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale se dĂ©roula le 1er juin 1924 au local, rue Basse Marcelle, n°1. Une confĂ©rence intitulĂ©e « Les principes de la tĂ©lĂ©graphie et tĂ©lĂ©phonie sans fil » (avec expĂ©riences et projections lumineuses !) suivait l’ordre du jour. Attestant du succĂšs remportĂ© par la jeune sociĂ©tĂ© de T.S.F., des cours techniques et de morse, ‘prĂ©paratoires aux examens de radio-tĂ©lĂ©phoniste’ sont organisĂ©s tous les samedis au local. [12]

En cette fin d’annĂ©e 1924, l’évĂšnement phare dans la vie du club fut une « Exposition et Concours de T.S.F. Â», organisĂ© du 25 au 31/12/1924. [13]

12 Ă©minents ‘T.S.Fistes ou musiciens’, dont MM. De Winter (alias ‘Bob De Self’) [14] et Coppe, professeurs Ă  l’Ecole des Cadets, font partie du jury.

Dans la revue « Science et Savoir-Faire Â» n°67 de janvier 1925 (p.6), Mr. Louis Boccar (41, rue Asty-Moulin) prĂ©cise que ce concours avait rĂ©uni 18 concurrents et, dĂ©tail piquant, que c’est Mr. Chardon de Ronet qui remporta la premiĂšre place. Cette mĂȘme revue publie par ailleurs les rĂ©sultats d’écoute de nombreux sans-filistes namurois. [15]

Par la suite, Albert de Dorlodot fit partie du premier conseil de gestion de l’INR, crĂ©e par la loi du 18/6/1930 et l’AR du 28/6/1930. Sa premiĂšre rĂ©union eut lieu le 11 septembre 1930 et sa composition reflĂšte les 3 grandes familles politiques et, de surcroĂźt, les 3 rĂ©gions du pays.
Le dĂ©veloppement de l’INR entraĂźna dans les annĂ©es 30 la nĂ©cessitĂ© de construire de nouvelles infrastructures abritant studios et Ă©missions.

Un concours d’architecture fut lancĂ© le 22/2/1933 pour la construction du futur ‘Paquebot’ de la place Flagey. Le jury, dans lequel on retrouve le Baron de Dorlodot, attribuera la rĂ©alisation de ce projet Ă  Joseph Diongre, un architecte bruxellois. [16]
En ce dĂ©but des annĂ©es 30, divers documents attestent de son rĂŽle Ă  la tĂȘte de « l’Union Radio-Club de Belgique ». (11, rue du CongrĂšs Bruxelles) [17]
Par la suite, la SociĂ©tĂ© de T.S.F. de Namur s’appela « Union namuroise de radiophonie ». Une ‘Radio Chronique’, signĂ©e ‘Le VoltmĂštre’ Ă©tait publiĂ©e dans ‘Vers L’Avenir’. En avril 1933, un ingĂ©nieur de la SociĂ©tĂ© belge de radio (S.B.R.) vint entretenir ses membres des mystĂšres de la ‘tĂ©lĂ©vision’.

Alors que d’autres sans-filistes namurois bien connus se livrent aux joies de l’émission d’amateur [18], aucun article, aucune liste, aucune carte QSL ne m’ont permis Ă  ce jour d’affirmer avec certitude que Mr. Le Baron Albert de Dorlodot ait pratiquĂ©, en un quelconque moment de sa vie, l’émission d’amateur.

Notes.

[1]   « Le PĂšre DĂ©sirĂ©-Joseph Lucas (1860-1949), quant Ă  lui, sera l’une des personnalitĂ©s les plus marquantes des FacultĂ©s, tant pour sa rigueur scientifique et la valeur de son enseignement, que pour son dynamisme et son rayonnement personnel. Professeur de physique de 1894 Ă  1945, membre du Conseil scientifique de l’Institut royal mĂ©tĂ©orologique depuis 1920, membre de l’Association Belge de Photographie (ABP), il jouera Ă©galement un rĂŽle de premier plan dans les dĂ©buts de l’Institut technique de Namur (
) » ‘La vie Ă  Namur au temps du Roi Albert’, p.146.
[2]   Interview du Baron de Dorlodot par Karl Hamerlinck dans : ‘Radio Belgique’ du 25/3/1934, p.5.
[3]   Interview du Baron de Dorlodot par Karl Hamerlinck dans : ‘Radio Belgique’ du 25/3/1934, p.5.
[4]   « Le Roi Albert et la T.S.F. », ‘La Revue Belge de TSF et Union-Radio-Revue rĂ©unis’ n°39, mars 1934, p.2.
[5]   Philippe Caufriez : ‘Histoire de la radio francophone en Belgique’, p.18.
[6]   Philippe Caufriez, ibid., p.21.
[7]   Interview du Baron de Dorlodot par Karl Hamerlinck dans : ‘Radio Belgique’ du 25/3/1934, p.5.
[8]   ‘The Wireless World and Radio Review’. The official organ of the Radio Society of Great Britain. March 19th, 1924. p.780.
[9]   ‘Vers L’Avenir’, mardi, 13 mai 1924.
[10]  Le local de ‘La SociĂ©tĂ© de TSF de la province de Namur’ se trouvait au n°1 de la rue Basse Marcelle.
[11]  ‘Vers L’Avenir’, mardi, 13 mai 1924.
[12]  AG du 1er juin 1924 (‘Vers L’Avenir 24-25 mai 1924); Cours techniques de Mr. De Winter (‘Vers L’Avenir’ 20/11/1924) ; Cours de morse (‘Vers L’Avenir’ 19/2/1925).
[13]  ‘Vers L’Avenir’, vendredi, 12/12/1924.
[14]  Le journal ‘Vers L’Avenir’ entame dĂšs janvier 1925 la publication d’une rubrique dĂ©diĂ©e Ă  la T.S.F. . Ces articles sont signĂ©s ‘BOB DE SELF’, alias Mr. De Winter (28, Quai de Meuse Ă  Jambes), professeur Ă  l’école des Cadets et responsable des cours techniques Ă  la SociĂ©tĂ© de TSF de la province de Namur. Le dernier article de fĂ©vrier 1926 est un tĂ©moignage poignant des terribles inondations que connut Namur lors de la nuit de la Saint-Sylvestre 1925-1926.
[15]  « RĂ©sultats d’écoute en Radiophonie d’amateurs » (‘Science et Savoir-Faire’)

            - Mr. Georges Honinckx fils, 24, Bld d’Omalius.

            - Mr. Moret-DerĂšze, nĂ©gociant Ă  Flawinne.

            - MM. Fontaine FrĂšres, 22-24 rue de Bruxelles.

            - Mr. De Winter, 28, Quai de la Meuse, Jambes.

            - Mr. Simon Joseph, 23, rue des Hayettes, Salzinnes.

            - Mr. Chardon , rue du Wagon, Flawinne.

            - Mr. Delhaisse Lucien, 221, chaussĂ©e de Waterloo.

            - Mr. Grognard de Namur.

            - Mr. Carlier, 77, rue de Bruxelles.

            (
)

[16]  Philippe Caufriez, ibid., pp. 103-104.
[17]  L’URCB est « le plus puissant organisme fĂ©dĂ©ratif des sociĂ©tĂ©s d’études et de vulgarisation de la science radio-Ă©lectrique, Ă  laquelle sont affiliĂ©s les radio-clubs de Bruxelles, Malines, Charleroi, Courtrai, LiĂšge, Tongres, La LouviĂšre, Louvain, Morlanwelz, Tirlemont, Namur, Jodoigne, Ath, du Borinage 
 groupe l’immense majoritĂ© des amateurs de TSF. (
) Cotisation : 20 francs l’an. » (‘L’Antenne’ N° 210 du 3 avril 1927.)

« M. le PrĂ©sident, le baron Albert de Dorlodot, rappelle les rĂ©unions antĂ©rieures, l’activitĂ© de l’U.R.C.B., son intervention dans la prĂ©paration des lois qui viennent, en cette annĂ©e jubilaire, de doter le pays de l’Institut National de Radiodiffusion, et remercie les membres qui ont rĂ©pondu Ă  l’appel de l’U.R.C.B. ». (‘Radio-Science’ N° 9, septembre 1930, p. 83)
[18]  Victor Liesens (1902-1976) fut un de ces ‘sans-filistes’ de la premiĂšre heure : sa premiĂšre demande pour « établir un poste rĂ©cepteur privĂ© de tĂ©lĂ©graphie sans fil » est datĂ©e du 15/12/1922 ! B 4UC-M2-EB4UC-ON4UC furent ses indicatifs successifs.

B8 AO (05/1925) des ‘rives meusiennes’ et les postes 4WA et 4WH (09/1925) sont citĂ©s dans ‘Science et Savoir-Faire’. Z9, P9, M2 et V8 Ă©taient des indicatifs namurois du ‘RĂ©seau Belge’.

Bibliographie

Ouvrages de référence.

◊   Philippe Caufriez, Brice Depasse, Nicolas Gaspard : 100 ans de radio en Belgique, Renaissance du Livre, 2013.
◊   Philippe Caufriez : Histoire de la radio francophone en Belgique, CRISP, 2015.
◊   ‘Vive la Radio’, ouvrage Ă©ditĂ© Ă  l’occasion de l’exposition « Vive la Radio » organisĂ©e au Passage 44 Ă  Bruxelles du 21 novembre 1980 au 4 janvier 1981. (CrĂ©dit Communal)
◊  Philippe Jacquet et Françoise Jacquet-Ladrier : La vie Ă  Namur au temps du Roi Albert, ouvrage Ă©ditĂ© Ă  l’occasion de l’exposition organisĂ©e Ă  la Maison de la Culture de Namur du 8 septembre au 13 octobre 1984. (CrĂ©dit Communal)
◊   Marc Belvaux : La famille (de) Dorlodot I et II, Office gĂ©nĂ©alogique et hĂ©raldique de Belgique. Bruxelles, 2014.
◊   Marie-Anne Lorgé : La TSF et le Luxembourg dans les annĂ©es 30. Groupe Histoire collective du Luxembourg. Rossignol, 1987.
◊   RenĂ© Dejollier : Namur 
 Revue Ă  travers 25 ans de gazettes. (1915-1940). Namur, 1982.

Périodiques et revues spécialisées de TSF.

◊   « Science et Savoir-Faire », Bruxelles, annĂ©e 1925. (Directeur : Oscar Laroche)
◊   « Radio Belgique » N°12 du 25 mars 1934. (pp.4-5)
◊   « La Revue Belge de TSF et Union-Radio-Revue rĂ©unies » N°39, mars 1934. (p.2)
◊   « The Wireless World and Radio Review ». The official organ of the Radio Society of Great Britain. (AnnĂ©e 1924)
◊   Journal « Vers L’Avenir », annĂ©es 1923-1926. (ConsultĂ© aux ‘Archives rĂ©gionales de Wallonie’, Beez)
◊   « L’Antenne », SupplĂ©ment hebdomadaire illustrĂ© de ‘La Meuse’. (AnnĂ©es 1925-1927)
◊   « Radio-Science » Revue mensuelle scientifique, technique, industrielle et commerciale. Septembre 1930.

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